On apprend ainsi que des syndicats, ici la CFDT et la CGT, vont indemniser (partiellement) les grévistes de leur perte de salaire.
Tout ceci ne serait par particulièrement choquant si l'argent utilisé leur appartenait bien. Or c'est loin d'être le cas. En effet, les cotisations et les dons aux associations syndicales bénéficient, comme pour les partis politiques, d'un crédit d'impôt de 66%. A cela se rajoutent les subventions des conseils généraux et régionaux ainsi que des détournements dont la CGT est une spécialiste.
L'effort porte donc plus que largement sur le contribuable.
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